Entente culturelle: Lorraine Dubuc-Johnson a légué un héritage précieux au milieu artistique de Sept-Îles

Lorraine Dubuc Johnson lors du colloque provincial "Les Arts et la Ville" à Sept-Îles

En 15 ans, l’entente de développement culturel initiée par l’ex-conseillère Lorraine Dubuc-Johnson a permis de réaliser plusieurs projets artistiques qui n’auraient possiblement pas vu le jour. Unique en son genre au Québec avec un partenaire privé, Aluminerie Alouette et le ministère québécois de la Culture, l’entente continuera d’encourager les artistes de Sept-Îles avec son renouvellement pour 2021 à 2024.

Conseillère municipale de 2003 à 2016, Lorraine Dubuc-Johnson a d’abord travaillé à l’élaboration de la première politique culturelle de la Ville sous l’administration du maire Ghislain Lévesque. La consultation citoyenne de l’époque lui a donné l’idée d’une entente tripartite avec le gouvernement et une entreprise privée. La responsable des communications d’Aluminerie Alouette Line Bérubé n’a pas été difficile à convaincre, se souvient Lorraine Dubuc-Johnson.

Première agente culturelle à l’emploi du Service des loisirs, Amélie Robillard estime aujourd’hui que toute la démarche de création de la politique et de la première entente culturelle signée en 2005 a été structurante et bien accueillie. Dès la première entente des initiatives comme les Lecturiades, la revue Littoral, les panneaux historiques, le ciné-club et la Ligue d’impro junior ont vu le jour.

Entrevue avec l’ex-conseillère à la Ville de Sept-Îles Lorraine Dubuc-Johnson et l’agente de développement culturel devenue conseillère en communication Amélie Robillard