La Ville de Sept-Îles augmente le nombre de caméras de surveillance et ajoute des enregistreurs

Depuis quelques années, trois lieux publics vandalisés par le passé sont filmés à Sept-Îles. Il s’agit du Parc du Vieux-Quai, le Centre socio-récréatif et le site d’enfouissement. La Ville ajoutera des enregistreurs et des caméras de surveillance au futur chenil de la SPCA en fin de construction sur le boulevard Montagnais et au centre de tri derrière l’édifice des Travaux publics.

Les cinq sites ont été visités par des voleurs ou des vandales à quelques reprises. Des enquêteurs de la Sûreté du Québec demandent à l’occasion de visionner des enregistrements de surveillance.

Sinon le directeur général de la Ville de Sept-Îles Patrick Gwilliam est la seule personne autorisée à regarder le contenu des caméras. Le conseil municipal de Sept-Îles réuni lundi soir a résolu d’acheter des enregistreurs pour toutes les caméras de surveillance de la ville. Ils permettront de conserver les images un mois, plutôt qu’une semaine.

Le DG Patrick Gwilliam explique qu’il n’est pas possible d’installer des caméras de surveillance n’importe où. Il faut un accès à un réseau Internet, sinon le Parc des Écureuils (Parc Aylmer-Whittom) souvent vandalisé, serait déjà sous surveillance.