La Ville de Sept-Îles essaye de monnayer le nom de son prochain aréna

L'aréna Conrad-Parent arrive en fin de vie. «Pas le choix de déposer maintenant des demandes de financement.»

Comme à Montréal, Québec ou Rivière-du-Loup, le nom du prochain aréna de Sept-Îles pourrait être celui d’une compagnie. La Ville capitalisera sur les revenus que la sélection d’un partenaire privé peut apporter. La démarche n’est pas concluante, après quelques approches, précise le directeur général de la Ville Patrick Gwilliam.

C’est le premier choix des élus, d’offrir aux entreprises privées de s’associer au principal amphithéâtre sportif de la Ville. Si ça demeure non concluant, le conseil municipal décidera s’il garde le nom de Conrad-Parent, un ancien directeur de l’aréna.

L’aréna de participation porte le nom de Guy Carbonneau. D’autres Septiliens d’origine ont réalisé de belle carrière dans la Ligue nationale de hockey, comme Steve Duchesne.

Le DG Patrick Gwilliam a été emballé, lorsqu’il a vu les plans de l’architecte Septilien Jean-François Gagnon. L’ancien gardien de but de la Ligue Junior majeur du Québec, devenu associé principal de la firme d’architecte Lemay ,veut créer un bâtiment qui fera la fierté des Septilien, avec le désir de redonner à la communauté qui l’a vue grandir.