L’IRIS se réjouit d’alimenter le débat sur l’avenir de la foresterie au Québec avec son étude publiée jeudi, qui conclut que le gouvernement subventionne trop une industrie en fort déclin.
L’Institut de Recherche et d’Information Socioéconomique propose d’investir dans une industrie de proximité pour préserver des emplois en région et diversifier l’économie au sein même de l’industrie forestière.
L’usine de biomasse à Port-Cartier cadre bien dans cette vision de l’IRIS, selon l’auteur de l’étude Alexandre Bégin. Le gouvernement n’investit pas de la bonne façon, commente le chercheur de l’IRIS.
L’étude sur l’industrie forestière dépendante de l’état alimente le débat, alors que le secteur arrive à la croisée des chemins puisque la pandémie a fragilisé des entreprises déjà en perte de vitesse dans le secteur du bois d’œuvre ou des pâtes et papier.