
La Ville de Port-Cartier acceptera l’installation de campement pour travailleurs pour accommoder les gens de la construction attendus en mars pour un chantier à la minière ArcelorMittal. Pas n’importe où, précise le maire.
«Pas question d’installer des camps de travailleurs au centre-ville. Le maire Thibault ne veut pas jouer dans le même film que lors du projet d’expansion d’ArcelorMittal en 2012.
Ancien travailleur de chantier, Alain Thibault ne croit pas que le fly-in|fly-out temporaire pour la construction d’un projet soit aussi nuisible que celui pour des emplois permanents pour des entreprises qui opèrent à l’année sur la Côte-Nord. Le maire de Port-Cartier condamne aussi le télétravail, de plus en plus fréquent à partir de l’extérieur, pour des tâches qui concernent la région.