
Le déploiement des bracelets antirapprochement pour protéger les victimes de violence conjugale se poursuit dans quatre nouvelles régions de la province.
La Côte-Nord, l’Estrie, le Centre-du-Québec et Montréal figurent désormais à la liste des régions dans lesquelles il est possible de recourir à cette technologie.
Selon le ministère de la Sécurité publique, ce sont 65 bracelets antirapprochements qui ont été mis en service jusqu’à présent au Québec.
Les régions du Bas-Saint-Laurent et du Saguenay-Lac-Saint-Jean s’ajouteront à la liste de territoires desservis le mois prochain tandis que le déploiement final en Abitibi-Témiscamingue, en Gaspésie et dans le Nord-du-Québec doit se faire en septembre.
La technologie est composée de deux dispositifs reliés entre eux, soit un bracelet inamovible porté à la cheville par la personne contrevenante, et une application mobile installée sur un téléphone cellulaire remis à la victime. En cas de transgression d’un périmètre identifié, un signal est transmis à une centrale de surveillance, permettant le déclenchement d’une intervention policière.