Les entreprises minières embauchent une main-d’œuvre de plus en plus qualifiée

En 2021, nous remarquons que l’industrie minière change, ce n’est plus du tout une question d’efforts à la pioche comme il y a des dizaines d’années. Aujourd’hui, on opère de la machinerie complexe, on confine des systèmes informatiques pour favoriser l’automatisation, on gère des installations numériques, bref, cette industrie est désormais un modèle d’innovation technologique et scientifique pour l’ensemble de l’humanité, mais pour travailler dans ce domaine, il faut une formation.

L’Institut national des mines scrute à la loupe les avancés dans le monde minier partout sur le globe, elle conseil ensuite le gouvernement pour adapter et bonifier les formations minières au Québec. Selon Karine Lacroix, conseillère en communication à l’Institut national des mines, plus les employés des mines accumuleront des formations, plus ils s’assureront une bonne place au sein de l’entreprise.

Entrevue avec Karine Lacroix, conseillère en communication à l’Institut national des mines.

L’Institut national dévoile un bilan positif pour cette année, les entreprises minières embauchent une main-d’œuvre de plus en plus qualifiée, le numérique gagne du terrain, la croissance minière est orientée vers un développement durable et les formations s’arriment à toutes ces nouvelles réalités, notamment grâce cette équipe de l’Institut qui a même représenté le Québec lors d’un colloque annuel sur l’organisation réunissant pas moins de 12 pays.