
L’annonce de 17h00 avait été ébruitée en début de journée, mais voilà que le tout se confirme, un allègement de certaines mesures sera en vigueur pour la semaine de relâche.
Québec autorisera la reprise de certaines activités en zone rouge dès le 26 février ce qui comprend la réouverture des piscines, des patinoires intérieures et des salles de cinéma. En zone rouge, les gyms demeurent fermés.
Le nombre de personnes autorisées à participer à une activité extérieure est augmenté passant de 4 à 8 dans toutes les régions. Les rassemblements privés demeurent interdits.
Le premier ministre François Legault a réitéré que la prudence devait continuer de guider les décisions du gouvernement en raison de la pression exercée sur le réseau de la santé, mais surtout devant le risque que représentent les variants du virus.
Une seule région change de couleur
La région de l’Outaouais est la seule région à changer de palier d’Alerte du rouge vers le orange. Toutes les autres régions actuellement considérées rouges demeureront à ce niveau pour l’instant. Le couvre-feu demeure inchangé soit 21h30 en zone orange et 20h00 en zone rouge.
Concernant les déplacements entre les régions, ceux-ci ne sont pas interdits, mais déconseillés. Il est donc possible de louer un chalet ou une chambre d’hôtel dans une autre région à condition de respecter le concept de bulle familiale et de respecter le couvre-feu.
Québec entend demander aux policiers d’accentuer la surveillance dans les régions touristiques, mais ne prévoit pas tenir de barrages routiers.
Aucun changement n’est prévu pour le secteur de la restauration.
Pas une bonne idée de faire garder les enfants par les grands-parents.
Un appel spécial a été lancé par monsieur Legault aux employeurs afin d’être accommodant envers les parents qui ne sont pas en congé pendant la relâche. Le gouvernement Legault déconseille fortement de demander l’aide des grands-parents pour garder les enfants considérant le risque que représente la maladie pour les personnes plus âgées. C’est pour cette raison que le premier ministre demande aux employeurs d’être flexibles dans la mesure du possible.