Répit Richelieu Sept-Îles rouvre des services malgré la pénurie de main-d’œuvre

La directrice générale du Répit Richelieu Mélanie Masson entourée d’une partie de son équipe

Qu’importe la pénurie de main-d’œuvre qui l’affecte comme pour d’autres organisations, le Répit Richelieu rouvre son service de gardiennage. L’organisme héberge déjà, à titre de ressource intermédiaire, une douzaine de personnes vivant avec de lourds handicaps, mais veut en faire plus parce que le besoin est grand.

Répit Richelieu Sept-Îles compte sur une équipe de 24 employées qui travaillent aussi fort avec le cœur que physiquement. C’est une clientèle attachante qui vit à l’année dans la maison de la rue Évangéline, mais qui demande beaucoup d’attention et de soins.

Le gardiennage qui reprend lundi et le répit qui reprendra plus tard fournissent un soutien précieux aux familles dont l’enfant vivant avec un handicap physique ou mental n’est pas pris en charge par le réseau de la santé.

 »Des parents épuisés et au désespoir nous contactent, explique la directrice du Répit Richelieu, Mélanie Masson.  »La pandémie nous a forcés à interrompre un service essentiel. C’est grâce à une équipe formidable qu’on peut reprendre! »

Le gardiennage du Répit et l’urgence 24 heures sur 24 accueillaient une dizaine de personnes chaque jour. Répit Richelieu dispose de 20 lits, la moitié pour la ressource intermédiaire et l’autre pour le répit et le gardiennage.