Tata Steel défend son bilan environnemental dans le Nord

Lors d’une rencontre de presse à Sept-Îles ce jeudi matin, trois porte-paroles de la minière ont défendu le bilan de l’entreprise en matière d’environnement, de relations avec les Autochtones et de retombées économiques.

Le vice-président aux Affaires gouvernementales et Relations publiques pour Tata Steel, Armand McKenzie, s’est adressé aux Québécois qui ont été choqués par une photo d’un ours qui s’abreuvait dans un lac d’eau rouge.


Armand McKenzie

Armand Mackenzie a rappelé les engagements et les efforts de Tata Steel pour faire les choses correctement. La responsable de l’environnement pour Tata Steel Canada Mariana Trindade a défendu le travail de la compagnie pour la gestion d’un dépotoir au Labrador.

Mariana Trindade, responsable des dossiers environnementaux chez Tata Steel

Par ailleurs Armand Mackenzie avoue que les relations entre Tata Steel et les Autochtones de la région de Schefferville ne sont pas toujours faciles. Tata Steel ne fait pas de politique, mais constate que plusieurs candidats aux élections de Matimekush-Lac-John, ainsi qu’Uashat mak Mani-Utenam se positionnent concernant les projets de la minière.

Armand MacKenzie

Armand MacKenzie estime que Tata Steel a investi beaucoup d’argent en formation auprès des Innus et des Nakapis et finance plusieurs activités traditionnelles dans les communautés nordiques.