Vers une dérive de la rivière Pentecôte

(Photo : capture d'écran, Google Maps)

L’écoulement naturelle de la rivière Pentecôte est appelé à changer de trajectoire et redessiner le paysage à l’embouchure. Un professeur de l’UQàC, Maxime Boivin,  surveille le travail de l’érosion après chaque crue.

L’enseignant et chercheur en géographie s’intéresse à l’histoire naturelle des rivières sablonneuses à lit mobile de la Côte-Nord. L’érosion naturelle chaque printemps transforme lentement le lit de rivières comme Portneuf-sur-mer, Pentecôte, Moisie et Rivière-Saint-Jean.

A Pentecôte, deux forces s’affrontent et modifient le chenal de la rivière, observe Maxime Boivin.

Maxime Boivin, professeur de géographie UQÀC

Les scientifiques surveillent les rivières Escoumins, Portneuf et Pentecôte. Maxime Boivin de l’UQàC souhaite des études plus poussées sur l’érosion et les impacts sur les infrastructures comme la Route 138 et les habitations.